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Articles
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Inside Africa de Floriane de Lassée
29 octobre 2012, par LiminaireLa photographe Floriane de Lassée présente sa nouvelle série "Inside Africa" dans le prochain d’ici là n°9 sur la nuit à paraître chez Publie.net à la mi-novembre 2012.
Pour découvrir le travail magnifique de Floriane de Lassée, qui publie une autre série sur la nuit dans le prochain numéro de la revue, on peut se rendre sur son site : http://www.florianedelassee.com/site/ -
Texte de Jean-Yves Fick sur la nuit
29 octobre 2012, par Jean-Yves Fick, LiminaireExtrait du texte de Jean-Yves Fick, auteur de Il y a le chemin chez Publie.net ayant participé aux n°4, 5 6, 7 de la revue d’ici là et qui figure dans le n°9 sur la nuit à paraître chez Publie.net en novembre 2012.
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Une série photo de Martin Brink
30 octobre 2012, par Liminaire, Martin BrinkDécouvrez la nouvelle série photo de Martin Brink :
http://www.martinbrink.se/index.php?%2Fprojects%2Fperspective%2F
Martin Brink est photographe. Il vit et travaille à Helsingborg, en Suède. Il a participé à la revue d’ici là n°8 sur le thème de la ville : http://bit.ly/dicila-8 -
Concours de circonstances : quand le non...
30 octobre 2012, par LiminaireConcours de circonstances : quand le non intentionnel fait oeuvre au coin de la rue / Already-made Dan Graham. Une très belle photo de David Cousin-Marsy dont on peut retrouver le travail photographique sur son site :
http://www.vuenville.com/
David Cousin-Marsy a participé à la revue d’ici là n°8 sur le thème de la ville : http://bit.ly/dicila-8 -
Lancement de la résidence numérique sur le site de la revue
26 décembre 2012, par LiminaireL’intention de ce site est de faire vivre la revue en dehors de la parution de ses numéros.
C’est également la volonté d’accueillir des artistes à travailler sur un numéro spécifique, de leur permettre de bénéficier d’un espace de création directement sur le site (pour une partie de leur travail (l’ensemble pouvant ne pas être diffusé dans la revue, l’auteur, l’artiste restant toujours libre de diffuser son travail dans la revue ou ailleurs).
Deux artistes seront accueillis sur le site dans cet espace de (...) -
Nos corps amoureux...
8 février 2013, par Louise ImagineAu loin.
Le temps s’est arrêté. Au pied des vagues immenses et lentes. Devant la brise légère et l’iode phosphorescent. Devant ce jour radieux aux notes d’or et d’argent.
Je te suivais quelques pas en arrière, observant chacun de tes gestes.
Doigts nouant le fin tissu de ta robe que le vent menaçait de soulever.
Pieds nus creusant l’eau de leur galbe discret.
Tes mains frôlant le sable, cueillant délicatement des coquillages nacrés.
Je te suivais, silencieux, incapable de te rejoindre, incapable (...) -
Chaque feuille est un chemin
12 avril 2013, par Louise Imagine, Sabine NormandLe lendemain, la lumière est éblouissante. Elle est partout. Elle éclabousse les feuilles, les troncs, les visages. Les feuilles en transparence jouent avec les ombres, les contre-jours. Que fais-tu là, te demandes-tu. Est-ce vrai, tout cela. Est-ce bien moi qui suis ici, parmi ces entrelacs. Je voudrais partir, je ne le peux pas.
Elles m’enserrent, ces branches, me séduisent pour que je reste à les admirer tout le jour et j’ai à faire. Cette lumière, qui descend, d’où vient-elle ? Je ne peux plus (...) -
Chaos
7 décembre 2013, par Pierre-Yves Freund« Au commencement était le verbe, à la fin le monde sans fin. »
Un ordre, une structure, un chaos, une non fin, un vide.
Je désirais biffer un paysage, l’obturer même, tout clore de blanc.
J’ai tracé, tiré un trait sur la baie qui domine la vallée, photographié ce trait. Effacer. Recommencer. Attendre la nuit.
Errance d’un ordre à un chaos, à un noir non propre. Mouvement, fin, non fin, demeurent des images un temps. (...) -
Extraits de la revue n°10 sur le corps amoureux
24 février 2014, par Brigitte Célérier, Élias Jabre, François Matton, Isabelle Pariente-Butterlin, Liminaire, Magdalena LamriNos os, extrait du texte d’Isabelle Pariente-Butterlin
[Nos os]
Nos os craquent / craquements de nos os. Nos os au pluriel, c’est-à-dire notre squelette, ce qui nous tient, la structure de nous qui nous fiche debout, nous plante, nous debout sur le monde, à la surface du monde, nous tenant à rien d’autre qu’à l’intégralité de notre squelette. Branloire pérenne.Nos os au pluriel, fragiles et incertains, émettent au pluriel de multiples craquements des craquements multiples, démultipliés et les échos (...) -
Corps amoureux (dans le prolongement)
7 mai 2014, par Liminaire« Je n’ai plus besoin de rentrer, ma cellule a sauté, je bouge, je sens mon corps. »
Franz Kafka, Journal, 1922.
« La rafale amoureuse provoque assourdissement et peur : crise, révulsion du corps, folie : celui qui est amoureux à la manière romantique, connaît l’expérience de la folie. »
Roland Barthes
« L’homme est un drôle de corps, qui n’a pas son centre de gravité en lui-même. Notre âme est transitive. Il lui faut un objet, qui l’affecte, comme son complément d’objet direct, aussitôt. Il s’agit du (...)